Les familles à faible revenu recevront 900 tonnes d’aliments composés pour le bétail, de quoi tenir jusqu’au mois de mai de l’année prochaine. La Fondation Bulat Utemuratov enverra plus de 200 millions de tengues aux personnes touchées par la sécheresse dans le département d’Aral de la région de Kyzylorda, informe zakon.kz se basant sur les informations du service de presse de la Fondation.
Les fonds seront transférés au fonds public “Aralym-Aydin Shalgarym”, et il sera ensuite utilisé pour subvenir aux besoins de première nécessité de la population touchée. Dans la région, en raison de la sécheresse prolongée, il existe un problème aigu d’accès du bétail à l’eau et celui de la sécurité alimentaire. À l’heure actuelle, on constate la mort de plus de 500 animaux dans la région.
Pour soutenir la population de la région affectée par la sécheresse la Fondation Bulat Utemuratov alloue à 800 familles à faible revenu de la région d’Aral 900 tonnes d’aliments composés pour le bétail. Ce volume permettra de subvenir aux besoins des animaux pour la période allant de novembre 2021 à mai 2022.
La création de nouveaux puits d’eau est nécessaire pour protéger le bétail et irriguer les pâturages de la région, il faut également nettoyer des canaux et effectuer la réparation des systèmes de drainage. Sur la rivière Syr Darya dans la zone de la localité d’Amanotkel, le système d’approvisionnement en eau d’Aspay sera réaménagé, ce qui permettra d’élever le niveau d’eau et de remplir les réseaux de lacs Kamystybas et Akshatau, de forer des puits, y compris dans le district éloigné de l’aul de Bel Aran, qui n’a actuellement pas d’accès à l’eau potable – ses habitants utilisent un puits situé à 35 kilomètres.
En outre, des tracteurs, des faucheuses à foin, des charrues, des presses à balles pour la récolte du fourrage seront achetés pour les coopératives rurales dans les districts d’aul. Pour abreuver le bétail des districts éloignés, des camions citernes seront mis en disposition et pour l’irrigation des pâturages et des champs de foin les des pompes diesel seront achetés. Le contrôle financier des dépenses et le suivi de la distribution des aliments seront effectués par une commission spécialement formée de représentants du public.
Dans un premier temps, des serres seront installées dans 16 écoles d’Almaty. Plus tard, elles apparaîtront dans les établissements d’enseignement de Nur-Sultan et Shymkent.
La Fondation Bulat Utemuratov a annoncé le lancement du projet “Ecoles vertes”.
La première phase du projet démarre à Almaty, où la Fondation Bulat Utemuratov installera des serres dans 16 écoles publiques. Au cours des deux prochaines années, Nur-Sultan et Shymkent rejoindront l’initiative ; 40 autres serres y seront installées. La première serre a été ouverte à l’école n°177 du quartier Turksib d’Almaty.
Au cours de la nouvelle année scolaire, des cours optionnels dans le cadre de cette initiative seront organisés pour les élèves de la 5e à la 7e année des 16 écoles publiques d’Almaty. Le budget total du programme sur trois ans est d’environ 2 millions de dollars.
Les technologies vertes et la pensée écologique sont une tendance mondiale qui devient une partie intégrante de notre vie quotidienne. Par conséquent, il est important dès le plus jeune âge d’éduquer les enfants à l’éco-culture et d’enseigner le respect de l’environnement, a noté la Fondation.
« La fondation a une large expérience dans la mise en œuvre de projets dans le domaine de la préservation du fonds vert du pays. En 2020, nous avons finalisé une reconstruction à grande échelle du Jardin botanique principal d’Almaty. Nous avons essayé d’attirer les meilleurs experts du domaine de la production végétale, de l’agronomie, ainsi que des agriculteurs de la région d’Almaty, engagés dans l’agriculture biologique, au projet « Ecoles vertes ». Notre objectif principal est d’introduire des cours dispensés dans les serres dans le programme scolaire afin d’assurer la durabilité du projet à l’avenir », a déclaré Marat Aitmagambetov, directeur de la Fondation Bulat Utemuratov.
Toutes les serres sont équipées de systèmes modernes d’irrigation goutte à goutte, de chauffage et d’éclairage. Les phytolines de 60 m de long avec des diodes bleues et rouges sont mis en place pour offrir de la bonne lumière aux plantes, elles aident la biosynthèse et la végétation des plantes, améliorent leur croissance et augmentent les rendements. Pour éviter le gel des légumes et des baies en hiver, des radiateurs infrarouges ont été installés et un câble chauffant a été posé dans le sol. Le fonctionnement des appareils de chauffage dépend des données des thermostats intérieurs et extérieurs. Cela nous permet de régler à l’avance la température requise dans la serre et d’allumer les chauffages automatiquement lorsqu’elle baisse.
Le câble chauffant est posé tout le long du périmètre de la serre et empêche le gel de la terre, son activation et sa désactivation sont également contrôlées automatiquement. Tout cela contribue à minimiser l’impact du froid hivernal sur les plantes. Le chauffage et l’éclairage sont alimentés par l’électricité, qui est fournie par un câble incombustible, toutes les lignes de câbles sont posées dans un tuyau ondulé protégé et les éléments de connexion sont protégés par des boîtes de dérivation.
“C’est une belle initiative. Almaty est devenue la première ville du Kazakhstan à lancer le programme “Écoles vertes”, et les écoliers urbains auront la possibilité de mener des projets dans une serre durant toute l’année. Je suis sûr que la formation pratique dans le cadre de ces cours optionnels et des leçons de la biologie sera utile et pertinente », a déclaré l’Akim de la ville Almaty Bakytzhan Sagintayev.
Le travail dans les serres complétera le programme scolaire avec des exercices pratiques et sera une excellente occasion pour les enseignants de rendre des cours optionnels très intéressants. Les écoliers cultiveront des légumes, des baies et des herbes, et la récolte sera utilisée pour des projets de démonstration et lors des compétitions entre équipes scolaires.
La fête de tennis, qui a eu lieu pendant deux semaines dans la capitale du sud du Kazakhstan est terminée. « Il y a eu assez de beaux matchs, de défaites surprenantes avec des raquettes cassées et des balles qui s’envolent au loin, et des émotions vives présentées par les participants des tournois Beeline Open Challenger 80 Almaty et Beeline Business Challenger 80 Almaty, » résume le service de presse de la FTC.
Le Néerlandais Casper de Jong et le Chilien Thomas Marcelo Vera se sont rencontrés lors du match final du Beeline Business Challenger 80 Almaty. Pour Kasper, âgé de 21 ans, Almaty est devenue sa ville porte-chance : cette finale était la première des Challengers de sa carrière en simple, et une semaine plus tôt, il y avait célébré une victoire en double avec l’Ukrainien Vitaly Sachko. L’étoile montante du tennis néerlandais occupe actuellement la 204e place au classement mondial.
Le jeune Chilien, âge de 23 ans, connaît assez bien la ville d’Almaty. En 2019, il a perdu ici au deuxième tour. Aujourd’hui il y a perdu la bataille décisive. De Jong a joué de manière agressive dès les premières secondes du match, il a immédiatement pris deux services de l’adversaire et a terminé le premier set en sa faveur : 6:1. Lors du deuxième set, le scénario n’a pas changé : le représentant du pays des tulipes a continué à s’imposer et à jouer sans erreur. Il s’est montré aussi calme que possible et a mené la rencontre à la victoire avec confiance. Pendant le match, le Chilien n’a pas eu une seule balle de break. Résultat final : 6 : 1, 6 : 2.
« Je suis incroyablement heureux après ma victoire ! Almaty est devenue une ville spéciale pour moi. Mon chemin vers le titre a été long, car j’ai commencé à m’avancer depuis les qualifications. Ma mère a été la première à me féliciter, elle a regardé le match en ligne. Je remercie mon entraîneur, qui a cru en moi, » a déclaré Kasper après la cérémonie de remise des prix.
En double la victoire a été célébrée par les Ukrainiens Vladislav Manafov et Vitaliy Sachko, qui ont battu le Français Corentin Denolly et l’Espagnol Adrian Mendes : 6:1, 6:4.
Compte tenu des mesures sanitaires et épidémiologiques accrues, les jeux se sont déroulés sans spectateurs et la possibilité de retransmissions télévisées était particulièrement importante. Tous les matchs ont pu être suivis en direct sur le site Web de la Fédération de tennis du Kazakhstan – WWW.KTF.KZ. Les tournois ont été diffusés par des chaînes de télévision : au Kazakhstan – Qazsport et Insport, en Russie – la société de télévision et de radio « Start », en Ukraine, en Moldavie, en Lettonie, en Lituanie, en Estonie, en Biélorussie – par les chaînes de télévision Sport 1 et Sport 2, en Ouzbékistan – par la chaîne de télévision UzSport, en Biélorussie – par la « Biélorussie 5 ».
Le sponsor général des tournois est la compagnie Beeline.
Les partenaires officiels sont Kazzinc, Samruk Kazyna, Aqua Rossa, BMW Kazakhstan.
La Fondation Bulat Utemuratov lance le programme “Leadership Académie” en coopération avec les akimats de la région du Turkestan et de la ville de Chymkent. L’objectif du programme est de soutenir et de promouvoir les qualités de leadership chez les écoliers de la 5e à la 11e année et d’enseigner des compétences en demande qui ne sont pas enseignées à l’école.
Les compétences en communication, la maîtrise de discours en public, la planification et la gestion du temps, la présentation de soi et le développement de la confiance en soi – toutes ces compétences seront enseignées aux enfants dans le cadre du programme “Leadership Académie”.
Des élèves de la 5e à la 11e année dans les villes de Chymkent, du Turkestan et de la région du Turkestan, soit plus de 15 000 enfants, seront les premiers à commencer la formation à la « Leadership Académie ». Au cours des cinq prochaines années, les régions de Zhambyl, de Qyzylorda, d’Atyraou, de Manguistaou, du Kazakhstan occidental, d’Aqtöbe et Almaty vont progressivement rejoindre ce programme, dont le budget total se lèvera à 5 millions de dollars.
« La société actuelle a besoin des jeunes leaders avec une position civique active et une vision moderne. Par conséquent, il est très important de former des leaders forts issus de la jeunesse moderne afin que la jeune génération ait un avantage concurrentiel dans le contexte de la mondialisation, » a déclaré Umirzak Shukeyev, l’Akim de la région du Turkestan.
Les étudiants apprendront à utiliser d’une manière efficace les compétences de communication, ils vont s’initier à la pensée critique, à la prise de parole en public et à l’art de négociation. Des activités parascolaires, des réunions mensuelles, des master classes, des formations au leadership avec la participation de personnalités célèbres et des conférences annuelles avec la remise des prix des meilleurs étudiants sont prévues dans le cadre d’activité de l’académie.
De jeunes kazakhstanais bien connus – Ali Okapov, le groupe Mezzo et Dana Akilbekova – ont soutenu l’idée du programme et ils ont expliqué pourquoi il est important de développer des compétences en leadership :
« Nous attendons avec impatience le début de l’année universitaire, lorsque les élèves commenceront leurs études à la Leadership Académie. Il s’agit d’un programme complet, grâce auquel, dans quelques années, nous formerons parmi les jeunes un groupe stable de dirigeants avec une position de vie active, qui pourront se révéler plus brillamment, s’exprimer et montrer leurs talents non seulement au Kazakhstan, mais au monde entier, » a déclaré Marat Aitmagambetov, le directeur de la Fondation Bulat Utemuratov.
Les joueurs de tennis du Kazakhstan Alexander Bublik et Andrey Golubev ont atteint la finale en double de Roland Garros. En demi-finale, ils ont battu les Espagnols Pavel Andujar et Pedro Martinez avec un score de 1: 6, 6: 4, 6: 4.
Les joueurs de tennis du Kazakhstan Alexander Bublik et Andrey Golubev sont devenus les finalistes de Roland Garros en double.
En demi-finale, Bublik et Golubev ont battu les Espagnols Pavel Andujar et Pedro Martinez. Tout a été décidé lors du troisième match, le match s’est terminé sur le score 1: 6, 6: 4, 6: 4 en faveur des athlètes du Kazakhstan.
Bublik et Golubev ont réussi huit as, sans laisser aucune chance à leurs rivaux. Les Kazakhstanais ont fait deux doubles erreurs, les Espagnols en ont fait quatre. Les gagnants ont montré 100 % de réalisation des points : deux sur deux. Leurs rivaux ont réussi à prendre trois services sur six occasions.
La Fondation caritative Bulat Utemuratov a alloué 1 million de tengues à chaque famille restée sans abri suite à l’incendie de forêt dans les environs de la ville de Ridder, dans la région de l’est du Kazakhstan. Le directeur de la Fondation Marat Aitmagambetov, a parlé plus en détail du projet de la « Carte de l’assistance » pour les victimes de catastrophes naturelles et causées par l’homme, ainsi que d’autres initiatives sociales et caritatives.
– Marat Temirgalievich, pourriez-vous nous parler plus en détail du projet de la « Carte d’assistance » et de ceux, qui ont le droit d’en profiter.
– Il s’agit d’un projet caritatif conjoint de la Fondation Bulat Utemuratov, du Croissant-Rouge et de la Fortebank mis en œuvre en 2018. Pendant cette période, une assistance a été fournie aux victimes de catastrophes naturelles ou causées par l’homme pour un montant total de plus de 350 millions de tengues. D’une manière générale, une assistance est fournie aux victimes des inondations, mais il y a également eu une expérience d’intervention d’urgence après les explosions au dépôt de munitions à Arys.
Cette année, après avoir appris les nouvelles sur un incendie dans la ville de Ridder, mon équipe et moi nous n’avons pas pu rester à l’écart et avons décidé de chercher immédiatement des moyens de soutenir ceux qui étaient en difficulté. Et pour que l’aide soit opportune et rapide, nous avons décidé de fournir un soutien financier d’un montant de 1 million de tengues à chaque famille qui a perdu son logement. À notre grand regret, lors de l’incendie, il y a eu une victime. J’exprime mes sincères condoléances à la famille et aux amis de la défunte Galina Filaretovna Spivakova.
Chacune des trente familles touchées a reçu des cartes bancaires d’une valeur nominale de 1 million de tengues, et le montant total de l’aide s’élevait à 30 millions de tengues.
– Est-ce que la mise en œuvre du programme «Autisme. Un monde pour tous” se poursuivra cette année ?
-Bien sûr, car il s’agit de notre programme phare pour soutenir les enfants atteints de troubles du spectre autistique et leurs parents. Dans le cadre du programme, 9 centres d’autisme Asyl Miras ont été ouverts dans les villes de Nur-Sultan, Almaty, Qyzylorda, Oust-Kamenogorsk, Aqtöbe, Ouralsk, Chymkent, Petropavlovsk et Pavlodar. Nous avons ouvert ce dernier en décembre de l’année dernière à Pavlodar.
Les portes de nos Centres sont ouvertes tous les jours à tous les parents et enfants, ici nos spécialistes, formés selon les méthodes les plus avancées, aideront gratuitement à diagnostiquer les TSA et, s’il s’avère que l’enfant est sujet aux TSA, il sera inscrit dans le programme approprié pour le développement des compétences nécessaires. Tous nos centres proposent des cours basés sur la technologie américaine développée par l’Université de Californie et le Marcus Autism Center d’Atlanta. Ces technologies ont fait preuve de leur efficacité. Tous les enfants qui ont été encadrés ou continuent à être suivis dans un de nos centres ont des progrès en matière de développement.
– En quoi diffèrent-ils des centres correctionnels créés par l’État?
– Nous avons réalisé qu’ils travaillaient avec des enfants atteints de TSA à l’ancienne, comme c’était la coutume en Union soviétique. Nous avons décidé d’abandonner de telles approches et de nous tourner vers l’expérience internationale. Notre programme «Autisme. Un monde pour tous » est basé sur des méthodes scientifiquement prouvées qui sont largement utilisées aux États-Unis et en Europe.
Au Kazakhstan, les normes de travail des bureaux correctionnels d’État ne coïncident pas avec le système adopté par Asyl Miras. Par exemple, dans nos centres, une leçon avec un enfant dure 60 minutes, et dans un bureau correctionnel de l’État il dure seulement 25 à 40 minutes, ce qui n’est pas suffisant pour un travail efficace avec un enfant. De plus, dans le cadre du programme d’État, l’emploi du temps du spécialiste ne comprend pas les heures de travail avec les parents et la surveillance de l’enfant après la fin du programme. Pour ces raisons, depuis mi-2020, nous nous efforçons d’obtenir le statut législatif des centres Asyl Miras comme un type particulier de l’organisation d’enseignement spécialisé. Récemment, des documents nécessaires ont été signés et nous en sommes très heureux. Désormais, nos centres, ouverts en partenariat avec des akimats dans les villes de Nur-Sultan, Chymkent, Petropavlovsk et Pavlodar, ont reçu le statut de « Centres de soutien aux enfants autistes (TSA) ». Cela signifie que nous pourrons mettre en œuvre le programme « Autisme. Le monde est un pour tous » dans son intégralité et sans contradiction avec le programme de l’État.
Nous commençons également le transfert des centres restants sous administration publique au format d’ICE (les institutions communales de l’État). En même temps, nous maintiendrons l’efficacité du programme, continuerons de surveiller le processus de formation des spécialistes et l’implémentation par ces spécialistes des meilleures pratiques mondiales.
Nous prévoyons toujours d’ouvrir de nouveaux centres. La Fondation poursuivra sa coopération avec les akimats régionaux dans ce sens, en organisant des formations, y compris animées par les experts étrangers, et en fournissant de l’équipement complet pour les centres.
– Quels autres projets caritatifs sont soutenus par la Fondation Bulat Utemuratov ?
– Cette année, la Fondation Bulat Utemuratov a soutenu l’action « El Tiregi – Elbasy » de la Fondation caritative « Halyk ». De quoi s’agit-il ? Il s’agit d’aider les familles nombreuses à faible revenus et les familles élevant des enfants avec des besoins spéciaux. 4 000 paniers de vivres, préparés par notre fondation, ont été livrés aux habitants des villes les plus densément peuplées du pays : Nur-Sultan, Almaty, Chymkent, Qyzylorda.
Il s’agit d’une action de la Fondation « Halyk », nous avons décidé de la soutenir et d’apporter un soutien aux familles qui se retrouvent dans une situation difficile dans un contexte de pandémie et de restrictions dues au à la quarantaine. Aujourd’hui plus que jamais, notre société doit s’unir et aider ceux qui en ont le plus besoin, car c’est le seul moyen de surmonter toutes les difficultés.
– Il existe des dizaines de fondations caritatives au Kazakhstan, mais les projets mis en œuvre par la Fondation Bulat Utemuratov diffèrent d’eux. Choisissez-vous spécifiquement de tels projets pour ne pas doubler le travail des autres?
– Il y a vraiment beaucoup de fondations, elles sont très différentes et ils travaillent à différents niveaux – villes, régions, pays. La Fondation Bulat Utemuratov travaille au niveau national dans tout le pays, et les projets sociaux mis en œuvre visent principalement les groupes socialement vulnérables de la population, y compris les enfants, les adolescents et les jeunes.
La mission de la Fondation est formulée comme suit : faire du Kazakhstan un meilleur endroit à vivre aujourd’hui et demain. Mais l’idée principale de son fondateur consiste au fait que la Fondation ne fait pas le doublon des initiatives et des projets déjà mis en œuvre et soutenus par l’État.
Les branches de la Fédération de tennis du Kazakhstan partout dans le pays continuent à recruter les plus petits athlètes pour les groupes d’enfants (de 3 à 5 ans). Elles le font pour que les enfants développent les compétences de base d’un joueur de tennis dès le plus jeune âge. Ensuite, à l’âge de cinq ans, il sera beaucoup plus facile pour un enfant de commencer son parcours dans le programme le « Tennis avant 10 ». Qu’est-ce que c’est le Tennis avant 10 40 écoles et 34 jardins d’enfants à travers le Kazakhstan sont impliqués dans le cadre du programme international le « Tennis avant 10 », conçu pour l’enseignement du tennis après des jeunes enfants. Plus de 2 600 000 enfants jouent au tennis gratuitement. Avec le soutien financier de la Fédération de tennis du Kazakhstan, les établissements d’enseignement reçoivent chaque année 5 000 balles, 2 000 raquettes et 240 mini-filets. Le programme le Tennis avant 10 est structuré en trois niveaux optimaux pour le développement des enfants. Ils portent le nom de la couleur de la balle avec laquelle les enfants jouent : rouge, orange et vert. Ce système permet aux joueurs de progresser en fonction de leur âge et de leurs capacités. La taille du court, la longueur de la raquette et la vitesse de la balle changent d’un niveau à l’autre. Le joueur se prépare progressivement pour la transition vers un court standard avec des balles jaunes ordinaires. L’utilisation de balles multicolores, plus légères et plus lentes rend le jeu plus intéressant pour l’enfant. Souvent, les enfants qui commencent à apprendre les balles jaunes arrêtent rapidement de jouer au tennis, car la balle vole trop vite, rebondit au-dessus de leur tête, respectivement, le jeu devient trop court, aucune technique ne fonctionne vraiment pas et les enfants passent le temps dédié à entraînement à collecter des balles. Après une telle formation, l’intérêt pour le jeu se perd rapidement. Lorsque les enfants jouent plus avec des balles légères, leur motivation à rester au tennis augmente et le risque de blessure diminue. Dans le même temps, des terrains les plus petits sont utilisés, car, en jouant sur l’ensemble du terrain, l’enfant ne peut tout simplement pas appliquer certaines décisions tactiques. Des jeux amusants aux tournois sérieux Grâce au travail systématique de la Fédération de tennis, des infrastructures pour les jeunes athlètes sont en cours de développement dans toutes les régions du Kazakhstan. Les centres de tennis attirent un grand nombre d’enfants et d’adolescents, il y en a déjà 26 dans tout le pays. Les centres répondent aux normes internationales et peuvent accueillir un grand nombre de tournois. Grâce à cela, le tennis devient plus accessible et intéressant pour les enfants. David Miley, directeur exécutif du développement du tennis à la FTC, note le travail constant qui est mené pour améliorer le niveau du tennis kazakhstanais : il est axé sur l’amélioration les compétences du personnel d’entraîneurs et l’organisation régulière des tournois nationaux pour les enfants et les adolescents.
« Nous devons également profiter de nos joueurs professionnels pour continuer à populariser le tennis au Kazakhstan. C’est en regardant des joueurs de tennis kazakhstanais comme Alexander Bublik, Zarina Diyas, Mikhail Kukushkin, Alexander Nedovesov, Yulia Putintseva, Yaroslav Shvedov, que les jeunes pourront s’impliquer d’avantage dans le tennis, » estime David Miley.
Au stade préparatoire, les petits joueurs de tennis ne sont soumis à aucune pression. Ils jouent juste les uns avec les autres, et une dizaine de personnes peuvent se retrouver sur le terrain en même temps. C’est ainsi que le tennis devient compréhensible et accessible aux enfants. Si la formation vire vers la voie professionnelle, des exigences plus strictes vont être imposées à l’enfant.
« Chaque enfant qui commence à jouer au tennis est doué à sa manière », explique David Miley. « Au début, nous observons ses mouvements sur le court, travaillons avec la raquette et effectuons de divers tests de course, de saut et de coordination. A 9-10 ans, les enfants sont déjà suffisamment adaptés au jeu, ils en comprennent les bases et sont prêts pour la compétition. Nous organisons des tournois pour eux, mais il n’y a toujours pas de pression : à ce stade, les enfants ne sont pas classés afin que les jeunes athlètes ne soient pas démotivés en raison d’éventuels échecs. »
Lors de ces tournois, les entraîneurs regardent comment l’enfant se comporte, comment il s’intègre au jeu, comment il applique les techniques et les tactiques de son arsenal. Déjà à l’adolescence, les entraîneurs commencent à prêter attention aux progrès et aux résultats du joueur. Mais c’est seulement à partir de 14 ans que les joueurs de tennis se voient attribuer des notes basées sur les résultats de leur participation à des compétitions. Qu’est-ce que le tennis peut apprendre à un enfant ? Le tennis est non seulement un excellent moyen pour un enfant de développer des habiletés physiques, dans lesquelles tous les groupes musculaires sont impliqués, mais aussi une expérience psychologique inestimable. Le directeur exécutif de la Fédération de tennis, David Miley, appelle ce sport le plus honnête et le plus juste.
« Le tennis apprend aux joueurs à être honnêtes avec leurs adversaires. Le résultat du jeu est décidé par l’habileté et l’intelligence du joueur, et non par divers jeux et violations inaperçues des règles. Seule avec l’adversaire sur le terrain, une personne apprend à réagir à la situation actuelle et à résoudre de manière indépendante les problèmes qui surviennent pendant le match. Le tennis vous apprend à être prêt à tout : un matchpoint ne garantit pas la victoire, et un joueur qui manque de points ne doit pas abandonner. Le tennis vous apprend à ne jamais abandonner, quelle que soit la situation sur le court. Un court de tennis peut être comparé à un microcosme avec ses propres micro-situations, où presque tout ce qui se passe dans la vie peut vous arriver, » dit David Miley.
Ce qui distingue les diplômés des écoles kazakhes de Haileybury et comment obtenir une bourse de formation. Haileybury Almaty et Haileybury Astana sont des écoles privées, où l’éducation est basée sur les meilleures traditions de l’éducation britannique. Au lycée, les étudiants sont formés selon des programmes spécialisés, ce qui les aide à entrer dans les meilleures universités du monde. Les écoles ne sont pas un projet commercial, mais un projet social. Les revenus sont réinvestis dans la création de meilleures conditions pour les étudiants, et une partie est allouée pour subventionner les études gratuites des enfants talentueux. Par conséquent, Haileybury au Kazakhstan ce n’est pas une histoire de l’enseignement privé coûteux, mais celle des étudiants doués, de leur travail acharné accompagné par les enseignants professionnels. En quoi les écoles de Haileybury sont différentes Les actionnaires, rappelons-nous, ne reçoivent pas de dividendes des écoles, de sorte que l’administration distribue les revenus de manière indépendante, en les orientant vers l’équipement matériel et en attirant les meilleurs enseignants. Haileybury Almaty, par exemple, est la seule école du Kazakhstan à avoir connecté des équipements à gaz et à avoir reçu l’autorisation d’utiliser du gaz pour le travail dans les laboratoires scientifiques. Les écoles embauchent les meilleurs professeurs étrangers, construisent des installations supplémentaires pour développer non seulement les capacités mentales mais aussi physiques des élèves. Ainsi, en 2019, un nouveau complexe sportif d’une superficie de 1851 mètres carrés a été ouvert à Haileybury Astana, et l’année dernière, la reconstruction du théâtre de l’école y a été achevée. Les écoles prévoient de développer la tendance la plus moderne du moment dans le domaine de l’enseignement – celle de STEM, l’abréviation signifiant Science, Technologie Ingénierie (engineering), Maths (mathématiques). Qui peut obtenir une subvention des écoles de Haileybury Vous pouvez vous inscrire dans une école en fonction des résultats des tests concurrentiels sur une base payante. Les Kazakhstanais doués à partir de l’âge16 ans peuvent étudier gratuitement, après avoir reçu une bourse pour étudier au lycée. Chaque année, à l’initiative de l’actionnaire principal, les deux écoles allouent 10 places gratuites pour les 12e et 13e années d’études (classes de première et de terminale). Les dernières années, les étudiants sont préparés à passer des tests selon les diplômes pré-universitaires internationaux de l’A-level (à Haileybury Almaty) et le programme de baccalauréat international de l’IB (à Haileybury Astana). Les écoles se sont associées au service du conseil universitaire World’s TOP Universities, qui aide les étudiants à s’inscrire dans certaines des universités les plus compétitives du monde, notamment celles d’Oxford, de Cambridge, des universités du groupe Russell et la Ivy League américaine. L’un des candidats à la subvention est Shyngys Bilyalov. Le jeune homme a étudié dans l’une des écoles publiques d’Almaty et il est maintenant étudiant à l’Université de Cambridge.
«Il y a une énorme différence entre les écoles publiques et les écoles Haileybury. Il n’y a que 10 à 12 élèves dans la classe, donc tout le monde a la possibilité de participer activement aux cours. Le moment le plus excitant et le plus stressant est celui de candidater aux universités. Il serait presque impossible de s’inscrire à Cambridge sans l’aide de Haileybury Almaty,» déclare Shyngys Bilyalov.
À partir de la nouvelle année universitaire (2021/2022), Haileybury Almaty prévoit d’élargir le programme de bourses : désormais, les étudiants de 13 ans pourront également participer au concours. Comment entrer dans les meilleures universités du monde À la fin de la dernière année universitaire, cinq étudiants de Haileybury Almaty ont obtenu les scores les plus élevés de niveau A dans toutes les matières. L’une d’eux, Aiganym Raimzhanova, a reçu une invitation de plusieurs établissements d’enseignement aux États-Unis et en Angleterre.
«Finalement j’ai dû choisir entre l’University College à Londres et la Brown University aux États-Unis. J’ai décidé de rester à Brown. Le processus d’admission dans les universités américaines est beaucoup trop compliqué : si pour les universités britanniques je ne devais passer que l’IELTS et rédiger un essai, alors pour l’admission dans les universités américaines – il fallait passer les SAT, SAT Subject et rédiger un essai pour chaque université», explique Aiganym Raimzhanova.
Encore une diplômée de Haileybury Almaty, Gaukhar Alzhanova, a reçu une invitation de l’Université de Yale, l’une des Big Three» des universités les plus prestigieuses des États-Unis.
«C’est le mérite de l’école. Après tout, c’est ici, qu’en plus des programmes éducatifs internationaux, j’ai appris à participer aux œuvres caritatives, j’ai eu l’opportunité de participer à l’Olympiade scientifique britannique et de suivre un cours préuniversitaire en ingénierie. Les enseignants ont fourni des recommandations si importantes lors de la présentation de ma candidature à l’étranger. Je pense que c’est l’ensemble de ces facteurs qui m’a permis de réaliser mon rêve : devenir étudiant dans l’une des meilleures universités du monde », déclare Gaukhar Alzhanova.
Elle conseille à ceux qui souhaitent s’inscrire dans les meilleures universités de prêter une attention particulière à la rédaction d’essais.
«Avant de passer à sa rédaction, je conseille aux candidats de réfléchir sérieusement à la question principale: « Qu’est-ce que j’ai fait et que ferais-je pour rendre ce monde meilleur?» Après tout, ce sont précisément ces étudiants, les étudiants qui peuvent apporter quelque chose de spécial à la vie étudiante, qui sont recherchés par des universités de la Ivy League, » souligne la jeune fille.
Trois jours de conférences, 10 pays participants, 86 scientifiques et chercheurs et plus de 300 invités ce sont les chiffres qui illustrent bien les Lectures de Ryskulov-2021, qui se sont déroulées à l’Université Narxoz. Le forum scientifique a dû se tenir en ligne en raison de la pandémie, mais à partir de là, les frontières des événements n’ont fait que s’élargir. Ce n’est pas un hasard, que les Lectures de Ryskulov ont lieu chaque année à l’Université Narxoz. En 2000, l’Académie kazakhstanaise de gestion de l’état a été nommée auprès du plus brillant représentant de l’intelligentsia kazakhstanaise, Turar Ryskulov. Depuis 2006, les Lectures de Ryskulov ont eu lieu ici, et en 2016, l’université a été rebaptisée Narxoz. Cette année, cette tradition immuable célèbre son 16e anniversaire. Au fil du temps, seul le format des lectures change.
« Cette année, nous avons changé le format, » déclare le vice-recteur adjoint aux affaires académiques Aigerim Raimzhanova. – Nous ne voulions pas que ce soit encore un événement pour des chercheurs, nous avons donc transformé ce format en une plate-forme de discussion. Nous avons réuni des intervenants du monde entier selon des domaines thématiques et nous leur avons proposé des sujets de discussion, afin qu’ils aient matière à réflexion. En conséquence les gens ont commencé à collaborer les uns avec les autres, des experts de classe mondiale se sont réunis sur la même plate-forme et ils ont partagé des idées communes pour une coopération future. »