Les branches de la Fédération de tennis du Kazakhstan partout dans le pays continuent à recruter les plus petits athlètes pour les groupes d’enfants (de 3 à 5 ans). Elles le font pour que les enfants développent les compétences de base d’un joueur de tennis dès le plus jeune âge. Ensuite, à l’âge de cinq ans, il sera beaucoup plus facile pour un enfant de commencer son parcours dans le programme le « Tennis avant 10 ». Qu’est-ce que c’est le Tennis avant 10 40 écoles et 34 jardins d’enfants à travers le Kazakhstan sont impliqués dans le cadre du programme international le « Tennis avant 10 », conçu pour l’enseignement du tennis après des jeunes enfants. Plus de 2 600 000 enfants jouent au tennis gratuitement. Avec le soutien financier de la Fédération de tennis du Kazakhstan, les établissements d’enseignement reçoivent chaque année 5 000 balles, 2 000 raquettes et 240 mini-filets. Le programme le Tennis avant 10 est structuré en trois niveaux optimaux pour le développement des enfants. Ils portent le nom de la couleur de la balle avec laquelle les enfants jouent : rouge, orange et vert. Ce système permet aux joueurs de progresser en fonction de leur âge et de leurs capacités. La taille du court, la longueur de la raquette et la vitesse de la balle changent d’un niveau à l’autre. Le joueur se prépare progressivement pour la transition vers un court standard avec des balles jaunes ordinaires. L’utilisation de balles multicolores, plus légères et plus lentes rend le jeu plus intéressant pour l’enfant. Souvent, les enfants qui commencent à apprendre les balles jaunes arrêtent rapidement de jouer au tennis, car la balle vole trop vite, rebondit au-dessus de leur tête, respectivement, le jeu devient trop court, aucune technique ne fonctionne vraiment pas et les enfants passent le temps dédié à entraînement à collecter des balles. Après une telle formation, l’intérêt pour le jeu se perd rapidement. Lorsque les enfants jouent plus avec des balles légères, leur motivation à rester au tennis augmente et le risque de blessure diminue. Dans le même temps, des terrains les plus petits sont utilisés, car, en jouant sur l’ensemble du terrain, l’enfant ne peut tout simplement pas appliquer certaines décisions tactiques. Des jeux amusants aux tournois sérieux Grâce au travail systématique de la Fédération de tennis, des infrastructures pour les jeunes athlètes sont en cours de développement dans toutes les régions du Kazakhstan. Les centres de tennis attirent un grand nombre d’enfants et d’adolescents, il y en a déjà 26 dans tout le pays. Les centres répondent aux normes internationales et peuvent accueillir un grand nombre de tournois. Grâce à cela, le tennis devient plus accessible et intéressant pour les enfants. David Miley, directeur exécutif du développement du tennis à la FTC, note le travail constant qui est mené pour améliorer le niveau du tennis kazakhstanais : il est axé sur l’amélioration les compétences du personnel d’entraîneurs et l’organisation régulière des tournois nationaux pour les enfants et les adolescents.
« Nous devons également profiter de nos joueurs professionnels pour continuer à populariser le tennis au Kazakhstan. C’est en regardant des joueurs de tennis kazakhstanais comme Alexander Bublik, Zarina Diyas, Mikhail Kukushkin, Alexander Nedovesov, Yulia Putintseva, Yaroslav Shvedov, que les jeunes pourront s’impliquer d’avantage dans le tennis, » estime David Miley.
Au stade préparatoire, les petits joueurs de tennis ne sont soumis à aucune pression. Ils jouent juste les uns avec les autres, et une dizaine de personnes peuvent se retrouver sur le terrain en même temps. C’est ainsi que le tennis devient compréhensible et accessible aux enfants. Si la formation vire vers la voie professionnelle, des exigences plus strictes vont être imposées à l’enfant.
« Chaque enfant qui commence à jouer au tennis est doué à sa manière », explique David Miley. « Au début, nous observons ses mouvements sur le court, travaillons avec la raquette et effectuons de divers tests de course, de saut et de coordination. A 9-10 ans, les enfants sont déjà suffisamment adaptés au jeu, ils en comprennent les bases et sont prêts pour la compétition. Nous organisons des tournois pour eux, mais il n’y a toujours pas de pression : à ce stade, les enfants ne sont pas classés afin que les jeunes athlètes ne soient pas démotivés en raison d’éventuels échecs. »
Lors de ces tournois, les entraîneurs regardent comment l’enfant se comporte, comment il s’intègre au jeu, comment il applique les techniques et les tactiques de son arsenal. Déjà à l’adolescence, les entraîneurs commencent à prêter attention aux progrès et aux résultats du joueur. Mais c’est seulement à partir de 14 ans que les joueurs de tennis se voient attribuer des notes basées sur les résultats de leur participation à des compétitions. Qu’est-ce que le tennis peut apprendre à un enfant ? Le tennis est non seulement un excellent moyen pour un enfant de développer des habiletés physiques, dans lesquelles tous les groupes musculaires sont impliqués, mais aussi une expérience psychologique inestimable. Le directeur exécutif de la Fédération de tennis, David Miley, appelle ce sport le plus honnête et le plus juste.
« Le tennis apprend aux joueurs à être honnêtes avec leurs adversaires. Le résultat du jeu est décidé par l’habileté et l’intelligence du joueur, et non par divers jeux et violations inaperçues des règles. Seule avec l’adversaire sur le terrain, une personne apprend à réagir à la situation actuelle et à résoudre de manière indépendante les problèmes qui surviennent pendant le match. Le tennis vous apprend à être prêt à tout : un matchpoint ne garantit pas la victoire, et un joueur qui manque de points ne doit pas abandonner. Le tennis vous apprend à ne jamais abandonner, quelle que soit la situation sur le court. Un court de tennis peut être comparé à un microcosme avec ses propres micro-situations, où presque tout ce qui se passe dans la vie peut vous arriver, » dit David Miley.
Ce qui distingue les diplômés des écoles kazakhes de Haileybury et comment obtenir une bourse de formation. Haileybury Almaty et Haileybury Astana sont des écoles privées, où l’éducation est basée sur les meilleures traditions de l’éducation britannique. Au lycée, les étudiants sont formés selon des programmes spécialisés, ce qui les aide à entrer dans les meilleures universités du monde. Les écoles ne sont pas un projet commercial, mais un projet social. Les revenus sont réinvestis dans la création de meilleures conditions pour les étudiants, et une partie est allouée pour subventionner les études gratuites des enfants talentueux. Par conséquent, Haileybury au Kazakhstan ce n’est pas une histoire de l’enseignement privé coûteux, mais celle des étudiants doués, de leur travail acharné accompagné par les enseignants professionnels. En quoi les écoles de Haileybury sont différentes Les actionnaires, rappelons-nous, ne reçoivent pas de dividendes des écoles, de sorte que l’administration distribue les revenus de manière indépendante, en les orientant vers l’équipement matériel et en attirant les meilleurs enseignants. Haileybury Almaty, par exemple, est la seule école du Kazakhstan à avoir connecté des équipements à gaz et à avoir reçu l’autorisation d’utiliser du gaz pour le travail dans les laboratoires scientifiques. Les écoles embauchent les meilleurs professeurs étrangers, construisent des installations supplémentaires pour développer non seulement les capacités mentales mais aussi physiques des élèves. Ainsi, en 2019, un nouveau complexe sportif d’une superficie de 1851 mètres carrés a été ouvert à Haileybury Astana, et l’année dernière, la reconstruction du théâtre de l’école y a été achevée. Les écoles prévoient de développer la tendance la plus moderne du moment dans le domaine de l’enseignement – celle de STEM, l’abréviation signifiant Science, Technologie Ingénierie (engineering), Maths (mathématiques). Qui peut obtenir une subvention des écoles de Haileybury Vous pouvez vous inscrire dans une école en fonction des résultats des tests concurrentiels sur une base payante. Les Kazakhstanais doués à partir de l’âge16 ans peuvent étudier gratuitement, après avoir reçu une bourse pour étudier au lycée. Chaque année, à l’initiative de l’actionnaire principal, les deux écoles allouent 10 places gratuites pour les 12e et 13e années d’études (classes de première et de terminale). Les dernières années, les étudiants sont préparés à passer des tests selon les diplômes pré-universitaires internationaux de l’A-level (à Haileybury Almaty) et le programme de baccalauréat international de l’IB (à Haileybury Astana). Les écoles se sont associées au service du conseil universitaire World’s TOP Universities, qui aide les étudiants à s’inscrire dans certaines des universités les plus compétitives du monde, notamment celles d’Oxford, de Cambridge, des universités du groupe Russell et la Ivy League américaine. L’un des candidats à la subvention est Shyngys Bilyalov. Le jeune homme a étudié dans l’une des écoles publiques d’Almaty et il est maintenant étudiant à l’Université de Cambridge.
«Il y a une énorme différence entre les écoles publiques et les écoles Haileybury. Il n’y a que 10 à 12 élèves dans la classe, donc tout le monde a la possibilité de participer activement aux cours. Le moment le plus excitant et le plus stressant est celui de candidater aux universités. Il serait presque impossible de s’inscrire à Cambridge sans l’aide de Haileybury Almaty,» déclare Shyngys Bilyalov.
À partir de la nouvelle année universitaire (2021/2022), Haileybury Almaty prévoit d’élargir le programme de bourses : désormais, les étudiants de 13 ans pourront également participer au concours. Comment entrer dans les meilleures universités du monde À la fin de la dernière année universitaire, cinq étudiants de Haileybury Almaty ont obtenu les scores les plus élevés de niveau A dans toutes les matières. L’une d’eux, Aiganym Raimzhanova, a reçu une invitation de plusieurs établissements d’enseignement aux États-Unis et en Angleterre.
«Finalement j’ai dû choisir entre l’University College à Londres et la Brown University aux États-Unis. J’ai décidé de rester à Brown. Le processus d’admission dans les universités américaines est beaucoup trop compliqué : si pour les universités britanniques je ne devais passer que l’IELTS et rédiger un essai, alors pour l’admission dans les universités américaines – il fallait passer les SAT, SAT Subject et rédiger un essai pour chaque université», explique Aiganym Raimzhanova.
Encore une diplômée de Haileybury Almaty, Gaukhar Alzhanova, a reçu une invitation de l’Université de Yale, l’une des Big Three» des universités les plus prestigieuses des États-Unis.
«C’est le mérite de l’école. Après tout, c’est ici, qu’en plus des programmes éducatifs internationaux, j’ai appris à participer aux œuvres caritatives, j’ai eu l’opportunité de participer à l’Olympiade scientifique britannique et de suivre un cours préuniversitaire en ingénierie. Les enseignants ont fourni des recommandations si importantes lors de la présentation de ma candidature à l’étranger. Je pense que c’est l’ensemble de ces facteurs qui m’a permis de réaliser mon rêve : devenir étudiant dans l’une des meilleures universités du monde », déclare Gaukhar Alzhanova.
Elle conseille à ceux qui souhaitent s’inscrire dans les meilleures universités de prêter une attention particulière à la rédaction d’essais.
«Avant de passer à sa rédaction, je conseille aux candidats de réfléchir sérieusement à la question principale: « Qu’est-ce que j’ai fait et que ferais-je pour rendre ce monde meilleur?» Après tout, ce sont précisément ces étudiants, les étudiants qui peuvent apporter quelque chose de spécial à la vie étudiante, qui sont recherchés par des universités de la Ivy League, » souligne la jeune fille.
Trois jours de conférences, 10 pays participants, 86 scientifiques et chercheurs et plus de 300 invités ce sont les chiffres qui illustrent bien les Lectures de Ryskulov-2021, qui se sont déroulées à l’Université Narxoz. Le forum scientifique a dû se tenir en ligne en raison de la pandémie, mais à partir de là, les frontières des événements n’ont fait que s’élargir. Ce n’est pas un hasard, que les Lectures de Ryskulov ont lieu chaque année à l’Université Narxoz. En 2000, l’Académie kazakhstanaise de gestion de l’état a été nommée auprès du plus brillant représentant de l’intelligentsia kazakhstanaise, Turar Ryskulov. Depuis 2006, les Lectures de Ryskulov ont eu lieu ici, et en 2016, l’université a été rebaptisée Narxoz. Cette année, cette tradition immuable célèbre son 16e anniversaire. Au fil du temps, seul le format des lectures change.
« Cette année, nous avons changé le format, » déclare le vice-recteur adjoint aux affaires académiques Aigerim Raimzhanova. – Nous ne voulions pas que ce soit encore un événement pour des chercheurs, nous avons donc transformé ce format en une plate-forme de discussion. Nous avons réuni des intervenants du monde entier selon des domaines thématiques et nous leur avons proposé des sujets de discussion, afin qu’ils aient matière à réflexion. En conséquence les gens ont commencé à collaborer les uns avec les autres, des experts de classe mondiale se sont réunis sur la même plate-forme et ils ont partagé des idées communes pour une coopération future. »
L’équipe nationale du Kazakhstan a une fois de plus démontré au monde entier le haut niveau du tennis dans notre pays, après avoir battu l’Argentine lors du match de la Coupe Billie Jean King. Il s’agit de la plus grande compétition internationale pour les équipes féminines de tennis. Jusqu’en 2020, le tournoi s’appelait la Coupe de la Fédération, et maintenant il porte le nom du légendaire joueur de tennis américain. Le tour des playoffs, lors duquel l’équipe kazakhstanaise s’est opposée à l’équipe nationale argentine, s’est déroulé le 16 et le 17 avril dans la ville de Cordoba – sur le terrain de nos rivales. L’équipe comprenait Elena Rybakina, Yulia Putintseva, Zarina Diyas, Anna Danilina et le capitaine Yaroslava Shvedova. L’équipe nationale du Kazakhstan avant le match était qualifiée comme une favorite incontestée, car à la fois trois de nos joueuses de tennis sont dans le top 100 du classement mondial. Avant le match, le vice-président de la Fédération de tennis du Kazakhstan, Yuri Polsky, a noté que la composition uniforme et solide de notre équipe nous permettrait de construire efficacement la tactique et la stratégie de tout le match. Le numéro un de nos rivales était la 45e raquette du monde Nadia Podoroshka, Maria Lourdes Carle, qui se trouve dans le cinquième cent du classement, s’est battue de ses côtés pour la victoire. Mais cette rencontre sportive n’a pas été facile pour le Kazakhstan. Le premier point, portant à zéro le match décisif contre Nadia Podoroshka, a été ramené à l’équipe nationale par Yulia Putintseva (2: 6, 6: 4, 6: 0). Ainsi, la victoire paraissait être plus proche que jamais. Mais faute de problème de santé, Elena Rybakina n’a pas pu jouer à pleine puissance contre Maria Lourdes Carle (6: 4, 3: 6, 6: 0). La première journée s’est terminée par un match nul avec un arrière-goût désagréable et des doutes quant à la capacité d’Elena de se remettre le jour suivant. Mais heureusement, après une bonne nuit de repos, une Rybakina complètement différente est sortie sur le terrain. La joueuse de tennis n’a eu aucun problème d’affronter Nadia Podoroshka et de gagner en deux sets (6: 4, 6: 4). Yulia Putintseva avait toutes les chances d’apporter une victoire rapide au Kazakhstan, mais ici, il y a eu un imprévu : Yulia n’a pas pu terminer le match contre Maria Lourdes Carle en raison de crampe, que ressentait l’athète (6:7 (3:7), 7:6 (7:3) et le refus de Putintseva de continuer à jouer). Les jeux en solitaire n’ont pas permis de révéler les gagnantes. Nos joueuses de tennis ont fait preuve d’un esprit d’équipe dans un moment difficile. Lorsque Yaroslava Shvedova a réalisé que Putintseva avait de sérieux problèmes et devait aller s’échauffer avant le match décisif en double, Zarina Diyas a repris les fonctions de capitaine.
« Elle était géniale : elle soutenait, préparait, encourageait, » a déclaré plus tard Yaroslava Shvedova.
Lors de la rencontre décisive, les mêmes Podoroshka et Lourdes Carle ont joué pour l’Argentine, et le Kazakhstan a été représenté par une paire de Yaroslav Shvedova / Anna Danilina. Dans le premier set, elles ont tout simplement battu les Argentines, sans leur donner un jeu. Et puis les rivales ont repris leurs esprits et ont bien fait suer les joueuses de tennis kazakhstanaises et leurs fans. À la fin bien tendue du deuxième set, le capitaine de l’équipe nationale Shvedova, trop nerveuse, n’a tout simplement pas pu servir dans la deuxième case, mais de la sixième fois, les filles ont quand même remporté ce jeu si important, puis le match lui-même (6: 0, 7: 5). Le Kazakhstan avec un score total de 3: 2 est sorti vainqueur de cette rencontre.
« Le match s’est avéré bon, avec une énergie étonnante – à la fois pour moi et Anya, et pour toute l’équipe. Nous devions sortir et nous battre, nous sentions une grande et entière responsabilité non seulement devant l’équipe, mais aussi devant le pays entier. Nous avons très bien joué ces deux jours en équipe, nous nous y sommes données à fond. L’unité a fait notre force. Ce qui s’est passé à Cordoue est un vrai miracle! »- a déclaré Yaroslava Shvedova après la victoire.
L’équipe nationale du Kazakhstan a non seulement conservé sa place dans le groupe mondial, mais elle a également obtenu le droit de jouer dans la qualification finale pour la finale de 2022. Le capitaine de l’équipe féminine a souligné que le Kazakhstan avait réuni une équipe presque parfaite.
« Nous devons travailler sur la confiance. Mais avec une telle équipe, il est possible de passer non seulement à la phase finale de la Coupe Billie Jean King, mais aussi de remporter le trophée », estime Yaroslava Shvedova.
En février et mars de cette année, la Fédération de tennis du Kazakhstan a organisé simultanément deux tournois ATP à Nur-Sultan. Les Forte Challenger 100 et Forte Challenger 125 ont eu lieu sur les courts du Centre national du tennis, et leurs vainqueurs ont reçu respectivement 100 et 125 points de classement mondial. La ForteBank a été le sponsor général des deux tournois et le Kazzins, la Terra Motors et l’Aqua Rossa ont été leurs partenaires officiels. L’automne dernier, le Kazakhstan a eu sa première expérience en accueillant le tournoi de la série ATP 250. Les participants et les responsables de l’Association des Professionnels du Tennis ont eux-mêmes beaucoup apprécié le niveau d’organisation des compétitions dans le cadre très particulier de la pandémie, quand la plus grande attention a été portée au respect des mesures de sécurité sanitaire. Étant donné qu’au début de 2021, en raison de la pandémie, de nombreuses compétitions à travers le monde ont été annulées, l’ATP a demandé à la Fédération de tennis du Kazakhstan d’organiser les deux tournois à la fois. C’était une excellente occasion pour les joueurs qui ont terminé leur performance à l’Open d’Australie de se rendre immédiatement dans la capitale du Kazakhstan et de jouer aux deux Challengers. Les tournois ont rassemblé une solide équipe de joueurs. Emil Ruusuvuori, Mackenzie McDonald, Denis Istomin, bien connus des Kazakhstanais après leur performance à l’ATP 250, sont arrivés à Nur-Sultan. Parmi les participants figuraient également de célèbres joueurs Kwon Sun-wu et Tomas Makhach, bien connus aux fans de ce sport. Le Kazakhstan était représenté par presque toute équipe masculine : Mikhail Kukushkin, Alexander Nedovesov, Dmitry Popko, Timofey Skatov, Denis Evseev, Grigory Lomakin, Dostanbek Tashbulatov. Malheureusement, en simple, les joueurs de tennis kazakhstanais ont quitté le tournoi au début. Alexander Nedovesov a eu le meilleur résultat, avec l’Ukrainien Denis Molchanov, il a remporté le Forte Challenger 100 en double. Le joueur de tennis américain Mackenzie McDonald a remporté Le Forte Challenger 100 en simple.
« Lorsque l’occasion s’est présentée de rejouer à Nur-Sultan, je n’ai pas hésité une minute. En octobre de l’année dernière, au tournoi d’Astana Open, j’ai réussi à atteindre les quarts de finale, où j’ai perdu contre mon adversaire. Ma deuxième visite dans la capitale du Kazakhstan a été un succès. J’ai apprécié chaque minute en tant qu’invité dans ce beau pays, » a déclaré MacDonald lors de la cérémonie de remise des prix.
En finale du Forte Challenger 125, la victoire a été remportée par le Tchèque Tomas Makhach.
« J’aime le Kazakhstan, je suis ici pour la quatrième fois et je serai heureux de revenir, » a-t-il déclaré après la victoire.
Compte tenu des mesures de sécurité sanitaire et épidémiologique accrues pendant le tournoi, les matchs se sont déroulés sans spectateurs et dans le cadre de respect d’un protocole strict. Les athlètes ne pouvaient pas se promener simplement dans la ville et ils se déplaçaient uniquement entre l’hôtel et les courts. Mais ce sera une raison de plus de retourner à nouveau dans la capitale du Kazakhstan. Une innovation importante a été introduite lors des tournois Forte Challenger : des retransmissions de tous les matches d’excellente qualité étaient disponibles non seulement sur la chaîne de télévision QazSport, mais également sur le site Web de la Fédération de tennis. Les joueurs de tennis ont pu se détendre un peu de et oublier leur routine lors d’une séance photo caritative avec des chiens des refuges de la capitale. Les organisateurs ont proposé une telle action pour attirer l’attention sur les problèmes des animaux abandonnés. Les dépenses des organisateurs pour la tenue de deux tournois se sont en fait avérées minimes, a déclaré le vice-président de la Fédération kazakhe de tennis, Yuri Polsky.
« Le montant total de prix des deux tournois est connu: il s’agit de 260 mille dollars. Mais ces coûts ont été complètement payés par ATP. L’organisation de tournois a coûté à peu près le même montant. Bien sûr, nous ne pouvons pas organiser ce genre de tournois, car cela coûte très cher. Mais l’ATP nous a accordé une subvention assez importante, de sorte que nos coûts réels étaient minimes. En gros, nous avons payé l’hébergement des joueurs et des entraîneurs ou des autres accompagnateurs lors de la participation au tournoi, » dit Yuri Polsky.
Les joueurs ont noté que la Fédération de tennis du Kazakhstan, avec quelques efforts, a réussi à organiser les « challengers » au niveau du tournoi ATP 250. L’ATP souhaite vivement poursuivre cette collaboration. La fédération a demandé une licence permanente pour l’organisation des tournois à Nur-Sultan. En raison de l’instabilité causée par la pandémie, dans l’agenda il peut parfois avoir des possibilités d’accueillir un tournoi de manière ponctuelle.
« Nous ne voulons pas travailler dans de telles conditions, tout simplement parce que le président de notre Fédération c’est Bulat Utemuratov et s’il commence quelque chose, il le fait d’une façon permanente. Nous devons être sûrs que le tournoi aura bien lieu, également pour pouvoir négocier avec les sponsors à long terme. Il y a de l’intérêt maintenant, mais les sponsors potentiels veulent être sûrs que le tournoi n’est pas une promotion ponctuelle, mais un projet qui va durer, » a ajouté Yuri Polsky.
Les familles touchées par l’incendie dans la ville de Ridder recevront 1 million de tengues de la Fondation Bulat Utemuratov dans le cadre de la réalisation du projet de la «carte de l’assistence», mis en œuvre conjointement avec le Croissant-Rouge du Kazakhstan et la ForteBank
Le 10 mai, un incendie de forêt à grande échelle s’est produit dans la ville de Ridder. Selon les données préliminaires, la flamme a détruit 31 maisons d’habitation, 7 dépendances et un atelier de réparation de véhicules. Une femme âgée est décédée, deux personnes ont été blessées.
Les cartes bancaires au montant total d’un million de tengues seront remises à toutes les familles touchées dans les prochains jours dès que l’équipe d’intervention des services des situation d’urgence du Croissant-Rouge aura évalué la situation et les besoins des victimes.
– Ayant appris qu’il y avait un incendie à Ridder, mon équipe et moi n’avons pas pu rester à l’écart et nous avons décidé de chercher immédiatement des moyens de soutenir ceux qui étaient en difficulté. Et pour que l’aide soit opportune et rapide, nous avons décidé de fournir un soutien financier d’un montant de 1 million de tengues à chaque famille qui a perdu son logement. À notre grand regret, lors de l’incendie, il y a eu une victime. J’exprime mes sincères condoléances à la famille et aux amis de la défunte Galina Filaretovna Spivakova – a dit Marat Aitmagambetov, le directeur de la Fondation Bulat Utemuratov.
Le projet caritatif conjoint de la « carte de l’assistance » est mis en œuvre avec succès depuis 2018, fournissant une assistance aux victimes de catastrophes naturelles et celles causées par l’homme. Dans le cadre du projet de la « carte de l’assistance », la Fondation Bulat Utemuratov a apporté un soutien financier pour un montant total d’environ 1 million de dollars.